[Histoire n°1]Eclipse.

Bob parvint à obtenir, à l'issue de bidouillages dans lesquels il lui fallut utiliser le code à de nombreuses reprises pour obtenir d'autres codes, certains pouvoirs.
Tu ne peux pas commander la trajectoire du vaisseau, mais tu parvient à obtenir les pouvoirs suivant :
-Redirection des réseaux de télésurveillance sur tous les ordinateurs du vaisseau, quels qu'ils soient. (En d'autres termes tu peux visionner les allées et venues dans le vaisseau depuis ta chambre par exemple.)
-Ouverture des portes verrouillées (sas et placard) à distance.
-Climatisation/chauffage.
-La lumière artificielle est désormais réglable.
-Le déclenchement d'alarmes peut désormais être commandé.

Bob ouvra d'abord toutes les portes. Il alluma alors tout les écrans de la salle de documentation et y répartit toutes les images de la vidéo surveillance. Il recula alors jusqu'au soir où ils avait vu la dernière fois Glicy et fit passé la bande en boucle pour voir s'il n'avait pas oublié un petit détails.

Passage ou vous regardiez l'enregistrement a écrit:

Au bout de 10 minutes sans que rien ne se passe, Bob remit l'accéléré, et vous la vîtes bientôt ressortir de sa chambre en courant.
Tout le reste de la nuit passa sans que rien d'autre ne se passe.

Bob identifia que Glicy, en sortant de sa chambre, courait en pleurant. Il identifia également qu'elle courait vers le couloir secondaire (Celui qui donne sur les escaliers et le SAS.), la caméra de ce couloir, placée au-dessus du placard verrouillé, et donc tournée vers les escaliers, semble n'avoir vu qu'une vague silhouette qui ne ressemble a rien apparaitre en bas de l'écran, et disparaitre très vite, à peu près au moment ou Glicy était censée rentrer à l'intérieur.

Harnold rate lamentablement tout ce qu'il entreprend. Les yeux inondés de larme, il ne vois pas ce qu'il fait, et les mains tremblantes, il renverse tout et fais plein de faux gestes. Ce repas sera atroce.

Harnold chercha un mouchoir pour s'essuyer les yeux, se moucher. Enfin plus précisément une boite de mouchoir, avec une capacité de 150 mouchoirs minimum.

Léoroar était toujours enfermé dans la serre. Il ne savait pas quoi penser de la situation, car il refusait d'y penser, et n'était sûr que d'une chose : l'idée d'en parler avec ses « frères » le terrifie.

"La pauvre..." pensa Bob envoyant sa sœur pleurer. En voyant la silhouette monté les escaliers, Bob mit l'enregistrement en pause et alla voir dans la salle d'incubation, si Glicy y était.

(Apparemment je me suis mal expliqué. La caméra ne voit personne monter dans les escaliers, elle ne voit qu'une silhouette durant un très bref instant, passer devant la caméra. Cf le plan, la caméra est au-dessus du placard de gauche marqué d'un "?" . De plus, tu as des caméras qui filment l'étage également, et celles-ci n'ont rien vu.)

Ullysse ne comprend donc pas où Glicy a bien pu aller, et l'heure du diner sonne alors que tous les protagonistes sont encore paumés dans l'inexplicable.

(Harnold, mets-tu la table pour 3 ou pour 4? C'est juste pour le RP.)

Par pur réflexe, Harnold mit la table pour 4, mais une fois fini, il remarqua son erreur, mais il n'eut pas le courage de retirer la dernière assiette, et garda ainsi l'espoir de revoir sa sœur revenir pour le dîner.

Bob rejoignit Harnold pour le diner.
Tandis que Bob commençait a manger, Harnold, constatant que Léoroar ne venait pas malgré la sonnerie, alla toquer a la porte de sa chambre.
"Il doit être a la serre." se dit-il. C'était le cas.
Il aperçu son frère entre deux plantations. Il semblait effondré sur lui-même.
"Léo ?"

Harnold ne comprenait que trop bien le besoin de solitude de son frère.
Il posa l'assiette de Léoroar sur le sol. "Bon, si tu as faim, je te laisses ça ici."

"Et si il ne la mange pas, il ne perdra pas grand chose, pensa-t-il, je n'ai jamais cuisiné de manière aussi médiocre"

Il retourna a la salle a manger, dont Bob était déjà parti, en laissant la moitié de son assiette encore pleine. Une petite note était sur la table : "Fais-moi du café", écrite de manière très impolie. Déjà la politesse n'était pas le fort de Bob, mais les problèmes récents ne l'ont pas rendus meilleur. Harnold fit cependant du café, ne serait-ce que pour s'occuper en attendant que les lumières s'éteignent, ou simplement parce qu'il pensait que Bob avait peut-être une idée pour retrouver Glicy, mais toujours est il que pour sa part il savait qu'il n'en boirait pas, et que plus tôt il s'endormirait mieux cela vaudra.

Deux heures plus tard, tout était éteint dans le vaisseau, sauf la chambre de Bob. Qui pouvait désormais contrôler la lumière artificielle depuis l'ordinateur de sa chambre. Il était énervé, et chaque gorgée de café l'énervait encore plus.
"Ce n'est pas possible!" fulminait-il.
Toutes ses recherches, tous ses examens minutieux de la cassette ne le menaient à rien.

Citation :

Pour enclencher la dépressurisation, deux commandes simultanées sont nécessaires, l'une d'entre elle est à l'intérieur du sas, l'autre dans le placard. Ainsi, il doit toujours rester au moins une personne à l'intérieur du vaisseau.

Cet extrait de la cassette, plus que tout le reste, le faisait enrager. Le SAS était la seule sortie connue du vaisseau, et il n'entrevoyait aucune autre sortie possible. Et pourtant Glicy n'avait pas pu l'utiliser. Et pourtant elle n'était plus dans le vaisseau. Et ce n'était pas tout :

Citation :

« Lorsque notre jour sera venu, nous nous jetterons dans l'espace pour ne pas vous embarrasser de nos corps. »

Aucun corps n'a été retrouvé, donc leurs parents étaient sortis aussi. Mais comment?
Bob pensa à un genre de système à retardement, qui aurait pu enclencher la commande après quelques minutes, le temps pour les personnes en scaphandre de se rendre dans le SAS et d'en fermer la porte. Mais ça ne collait pas, ce genre de système aurait forcément laissé une trace quelconque si celui-ci était mécanique et non pas électronique. Et dans le cas de Glicy, seul un mécanisme aurait pu être utilisé.
N'y tenant plus, il alluma la lumière du couloir et sortit de sa chambre, puis descendit les escaliers. Il arriva en face du placard. Juste au dessus, la caméra le regardait en plein visage. Il tapa le code, ouvrit la porte du placard et observa la commande de dépressurisation. Celle-ci semblait en état de marche. Ullysse enclencha la commande. Une sonnerie retentit pendant une dizaine de secondes, après quoi on put entendre des bruits de pression pneumatiques provenant du SAS. Lorsque les bruits s'arrêtèrent, un bruit se fit entendre. Surement celui de la porte extérieure du vaisseau.
Tout fonctionnait. C'était déjà ça.
"Une petite minute, pensa Ullysse en fronçant les sourcils, la dépressurisation n'est censée fonctionner que si les deux commandes sont activées, celle-ci, et celle à l'intérieur du SAS..."

C'est à ce moment là qu'il se rendit compte qu'entre le moment ou il avait regardé dans le placard pour la première fois et maintenant, un scaphandre avait disparu.

Lisez le précédent post.

Voilà, maintenant j'aimerai vous demander : Vous vous sentez de reprendre, ou bien j'écris tout jusqu'à la fin?

Sunwarrior a écrit:

Lisez le précédent post.

Voilà, maintenant j'aimerai vous demander : Vous vous sentez de reprendre, ou bien j'écris tout jusqu'à la fin?

Relis ton post, et vire moi ce Dratigool, sinon je continue pas!!

Corrigé.

Pour le "continuer ou pas" c'est pour vous, hein, la seule chose que ca change pour moi, c'est que l'histoire avait différentes fins possibles et que ce n'est possible que si vous jouez.

(Et t'aurais au moins pu me dire ce que t'en pensais.)

Sunwarrior a écrit:

Corrigé.

Pour le "continuer ou pas" c'est pour vous, hein, la seule chose que ca change pour moi, c'est que l'histoire avait différentes fins possibles et que ce n'est possible que si vous jouez.

(Et t'aurais au moins pu me dire ce que t'en pensais.)

Pas de nouvelles, bonnes nouvelles.